"L'Éternel Dieu prit l'homme et le plaça dans le jardin d'Éden pour le cultiver et pour le garder".
Genèse 2 v15
Cultiver et garder
Cultiver et garder un jardin de délices comme le jardin d'Éden, une nature absolument vierge de toute pollution et exempte de tous les maux entraînés plus tard par le péché de l'homme, quelle merveilleuse occupation pour Adam et pour Eve ! Ce n'était pas une tâche pénible que Dieu avait assignée à nos premiers parents, mais une véritable bénédiction.
Plus tard, par Moïse, Dieu donna une loi à un peuple qu'il avait formé lui-même : le peuple d'Israël. Nous savons que cette loi ne permettait pas à un homme d'être sauvé, car personne n'avait la force de la suivre entièrement. Mais c'était une loi parfaite et tout à fait adaptée aux conditions de vie successives de ce peuple : dans le désert, puis à la conquête du pays de Canaan et enfin dans ce pays que Dieu avait promis à Abraham. Qu'Israël aurait été heureux s'il avait suivi de cœur les prescriptions bienfaisantes de cette loi !
Les hommes n'ont pas cru que ce que Dieu leur proposait venait de son amour parfait pour eux, et, par conséquent, leur apportait la possibilité d'être heureux. Ils n'ont pas cultivé et gardé les bénédictions divines, et ont cherché leur bonheur autrement ou ailleurs : Adam a mangé le fruit défendu, et Israël a rendu culte aux idoles de ses voisins.
Ce sont des choses excellentes que Dieu confie maintenant à ceux qui s'approchent de lui au travers de l'œuvre de Jésus Christ. Il nous place, nous croyants, non pas devant des obligations contraignantes et douloureuses, mais devant des bénédictions innombrables : - Nous pouvons jouir d'un salut complet, conséquence du sacrifice parfait de Jésus à la croix ;
- Nous avons été adoptés par Dieu comme ses enfants ;
- Nous avons la certitude d'être, bientôt et pour l'éternité, avec le Seigneur ;
- Nous pouvons, en attendant le retour de Jésus pour nous enlever, connaître les pensées divines à l'égard de toutes choses, avec la Bible et le secours de l'Esprit Saint pour la comprendre.
Pourrions-nous trouver le bonheur autrement ou ailleurs qu'en cultivant et en gardant ces bénédictions de Dieu ?
Plaire au Seigneur
Plus tard, par Moïse, Dieu donna une loi à un peuple qu'il avait formé lui-même : le peuple d'Israël. Nous savons que cette loi ne permettait pas à un homme d'être sauvé, car personne n'avait la force de la suivre entièrement. Mais c'était une loi parfaite et tout à fait adaptée aux conditions de vie successives de ce peuple : dans le désert, puis à la conquête du pays de Canaan et enfin dans ce pays que Dieu avait promis à Abraham. Qu'Israël aurait été heureux s'il avait suivi de cœur les prescriptions bienfaisantes de cette loi !
Les hommes n'ont pas cru que ce que Dieu leur proposait venait de son amour parfait pour eux, et, par conséquent, leur apportait la possibilité d'être heureux. Ils n'ont pas cultivé et gardé les bénédictions divines, et ont cherché leur bonheur autrement ou ailleurs : Adam a mangé le fruit défendu, et Israël a rendu culte aux idoles de ses voisins.
Ce sont des choses excellentes que Dieu confie maintenant à ceux qui s'approchent de lui au travers de l'œuvre de Jésus Christ. Il nous place, nous croyants, non pas devant des obligations contraignantes et douloureuses, mais devant des bénédictions innombrables : - Nous pouvons jouir d'un salut complet, conséquence du sacrifice parfait de Jésus à la croix ;
- Nous avons été adoptés par Dieu comme ses enfants ;
- Nous avons la certitude d'être, bientôt et pour l'éternité, avec le Seigneur ;
- Nous pouvons, en attendant le retour de Jésus pour nous enlever, connaître les pensées divines à l'égard de toutes choses, avec la Bible et le secours de l'Esprit Saint pour la comprendre.
Pourrions-nous trouver le bonheur autrement ou ailleurs qu'en cultivant et en gardant ces bénédictions de Dieu ?
Plaire au Seigneur
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